C'est la saison des pluies au Vietnam, mais il ne pleut pas!

Étonnant comme les événements se bousculent en vacances. En arrivant à Sapa j’étais fatigue et avais résolu de voyager un peu plus lentement, de faire du Tai Chi tous les matins et de ne pas faire de tourisme express comme en Chine. En réalité, cette resolution n’a durée que les quatre jours ou nous étions à Sapa. Le cirque des opportunitées a recommencé dès que nous sommes sortis du train de nuit et nous avons recommencé à faire du sightseeing intense en restant un max de 3 nuits à chaque endroit. Ce fut pourtant un peu moins épuisant, on a appris à se mettre confortable dans les bus de nuit et on s’est payé des aventures en dehors des villes et nous avons enfin gouté aux plages et au soleil. Mais en fait, au lieu de choisir meticuleusement nos destinations, nous nous somme laisser alles aux villes sur le trajet des Open Bus Tickets,  ce qui r/duisit considerablement le temps de planification, donc plus de vacances !

         Femme de la tribue Hmong avec son bebe, prenant une pause au haut des rizieres de Sapa. 

Hier, le 25 juin, nous nous sommes séparés de Gust et de Tim, avec lesquels nous voyagions depuis le 13 et 15 juin respectivement. Quels compagnons ! Nous avons eu énormément de plaisir a partager nos journées avec eux, même si nous avions quelques fois de la misère avec l'accent néo-zélandais de Tim. Les villes ont défilées sous nos yeux l'une après l'autre, nous avons passé des montagnes, a la foret tropicale puis aux plages, fait des excursions en moto et en bateau, pris quelques coups de soleil et on s'est aussi fait tailler des vetements sur mesure !  Maintenant, Léah et moi sommes a Saigon et l'on trouve que c'est frais comparé aux ville précédentes, il ne fait que 31 Celcius !

Il a plus hier pendant 20 minutes alors que l'on mangeait, une autre fois lorsqu'on était a Hoi An, avant nous avons été pris sous la pluie en moto a Ninh Binh et sinon nous avons simplement passé a travers des orages lorsqu'on était en bus entre deux endroits. Ils appelent ca la saison des pluies ! HA ! Le tourisme est très faible en ce moment (et tant mieux !); contrairement a la Chine ou il nous  fallait réserver a l'avance dans chaque ville, au Vietnam on débarque du bus et nous avons trois ou quatre personne qui veulent nous emmener a leur hotel. Nous avons l'embarras du choix et on peut en profiter pour négocier les prix a la baisse !cette nuit, nous avons une suite privee, un etagte juste pour nous avec un grand lit, un petit lit, air clematisee, grand balcon, TV cablee, ordinateur et internet, salle de bain puis lavage et dejeuner inclus pour seulement 15 $ !

Meme s'il y a des poubelles un peu partout, elles sont souvent vides parce que les vietnamiens jettent leur vidanges dans la rue. Qu'il s'agisse de bouteilles vides ou de restants de bouffe, si on n'en veux plus il suffit de le jeter par terre, quelqu'un finira par passer le ballet. Ais-je besoin de vous dire comment ça devient dégueulasse dans les coins ou ils improvisent des resto sur les trottoirs? Un petit kiosque sur roue rempli de bouffe, quelques tables et chaises en plastique format bébé et vla un resto de rue ! la bouffe se retrouve sur le plancher toute la journée, il fait chaud...

De plus, il est presque impossible de marcher tout un pate de maison sur un trottoir parcqu'il y a toujours un de ces kiosque mais surtout, des dizaines et des dizaines de motos stationnees. En fin de compte il est plus aise de marcher dans la rue. Ici c'est le royaume de la moto. Des petites, des grosses, des automatiques ou des manuelles, elles sont utilisees autant par des poupounes en jupes et talons hauts que pour transporter des familles completes, pour livrer de la marchandise ou comme siege pour piquer une sieste impromptue.

C'est fou comme c'est different de l'Amerique !

         Le city bus au Vietnam : lorsqu tous les sieges sont occupes ils installent les gens dans l'allee. Lorsque l'allee est pleine, ils disposent NOS sacs a dos sur le plancher, a l'avant, et assoient encore plus de gens dessus, sans meme prendre la peine de nous demander ce que l'on en pense...